Lorsqu’on a déjà plusieurs garçons, il est normal que l’on désire une fille lors de la prochaine grossesse. Cependant, une femme n’a qu’une chance sur deux d’enfanter un petit bonhomme. Afin de forcer le hasard, certains couples n’hésitent pas à essayer des solutions miracles pour influer sur le sexe de leur futur bébé. Mais parmi les méthodes naturelles proposées sur le marché, seule l’une d’entre elles est efficace.
L’alimentation de la femme : une piste à explorer pour choisir le sexe de son futur enfant
Depuis la nuit des temps, l’histoire regorge de mythes et de superstitions entourant les différents moyens pour choisir le sexe de son enfant. Autrefois, on conseillait les parents d’attendre la pleine lune pour concevoir un garçon. Les grands-parents, quant à eux, affirment qu’il faut voir la direction du vent avant de s’atteler à la conception, car cela aurait une incidence directe sur le sexe du futur bébé.
Seulement, aucune de ces théories n’a une portée scientifique. Hormis des interventions médicales qui sont dangereuses et interdites en France, une seule technique naturelle a pu afficher un taux de réussite de 80 %. Il s’agit de la méthode diététique.
En d’autres termes, maman doit suivre un régime alimentaire spécifique pour influer sur le sexe de son futur enfant. En effet, les aliments qu’elle consomme avant et durant la grossesse impactent grandement sur le pH de sa glaire cervicale et sur le passage des spermatozoïdes. Un milieu légèrement acide permet d’avantager les chromosomes X. Le pH alcalin avantage les spermatozoïdes porteurs d’un chromosome Y.
Le régime alimentaire pour tomber enceinte d’une fille
On sait désormais que les aliments consommés par la femme ont une réelle incidence sur le pH de la glaire cervical. Plus celle-ci est acide, plus la probabilité d’être enceinte d’une fille est élevée. À l’inverse, plus le milieu est alcalin, plus il avantagera les spermatozoïdes porteurs d’un chromosome Y.
Pour avoir une petite fille, il faut alors faire en sorte d’augmenter l’acidité de ses sécrétions vaginales. Pour ce faire, il convient de manger régulièrement des aliments riches en calcium. Ainsi, avant la procréation, les produits laitiers seront la base de l’alimentation de la femme. Tous les laitages sont permis, à condition qu’ils ne contiennent qu’une quantité limitée de sel. Les fromages, les yaourts, les crèmes fraîches ou encore le lait entier doivent être consommés au quotidien.
En revanche, pour garantir l’efficacité de la méthode, on doit éviter les nourritures ayant une forte teneur en sodium et en potassium comme les viandes, les poissons séchés ainsi que certains fruits et légumes. Dans tous les cas, avant de commencer le programme diététique, il convient de consulter un spécialiste.